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Violette Spillebout s’oppose à la rupture du jumelage entre Lille et Safed. Elle défend le dialogue avec la société civile israélienne, soutient la reconnaissance de l’État palestinien et appelle à une position équilibrée pour préserver la paix, la mémoire et les liens construits entre les peuples depuis près de 30 ans.
Ingrid Brulant interpelle la mairie après le drame du 8 février rue Gambetta. Elle demande des mesures immédiates pour sécuriser les rues dangereuses de Lille, un vrai dialogue avec les riverains, et un plan global contre les rodéos urbains. Elle appelle à une réponse rapide, coordonnée et ambitieuse pour prévenir d’autres tragédies.
Violette Spillebout propose de renforcer la charte éthique du mécénat à Lille en y incluant explicitement les élus, aux côtés des agents. Elle souhaite étendre cette exigence à toutes les structures où la Ville est représentée, pour promouvoir une culture éthique partagée et exemplaire dans la gestion des dons et partenariats.
Ingrid Brulant alerte sur la situation critique de l’Université de Lille : sous-financement, locaux vétustes, précarité étudiante. Elle demande un rééquilibrage des moyens, un plan d’investissement pour les bâtiments, et un meilleur soutien à la recherche. Elle salue l’action de Violette Spillebout et appelle à défendre une université digne, ambitieuse et ouverte.
Emmanuel Chatelain propose d’élargir le plan langues étrangères de Lille en y intégrant le néerlandais. Langue de proximité, porteuse d’opportunités culturelles et économiques, elle mérite une place renforcée dès le plus jeune âge. Il plaide pour un apprentissage ludique, ancré dans l’histoire et les échanges transfrontaliers, à la hauteur de notre identité flamande.
Ali Douffi défend une vision ambitieuse pour le sport à Lille : il déplore le sous-financement du haut niveau, appelle à un véritable projet stratégique incluant clubs, infrastructures, mécénat et gouvernance locale. Il rend hommage aux athlètes lillois et plaide pour faire de Lille une véritable terre de sport pour toutes et tous.
Emmanuel Chatelain salue la baisse des déchets par habitant mais juge la collecte des ordures ménagères résiduelles trop fréquente au vu des nouveaux modes de tri. Il interroge aussi la gestion des déchets de la Braderie de Lille, demandant des solutions plus durables face au tri inexistant et aux déchets enfouis.
Vanessa Duhamel déplore la fermeture prolongée des piscines à Lille, alerte sur l’accès restreint du public à la future piscine olympique et questionne le manque de transparence sur son mode d’exploitation. Elle plaide pour une ouverture large, au-delà des scolaires et clubs, face aux enjeux sociaux, climatiques et sportifs de l’accès à la natation.
Vanessa Duhamel alerte sur la crise de l’accès à la natation à Lille : fermetures prolongées, retards d’équipements, manque de transparence sur la future piscine olympique. Elle demande une ouverture réelle au public, au-delà des scolaires et clubs, soulignant les enjeux sociaux, climatiques et éducatifs d’un accès élargi à cet équipement essentiel.
Violette Spillebout insiste sur l’armement de la police municipale de Lille face à l’augmentation de l’insécurité, citant des incidents récents. Elle critique le maire pour son inaction et souligne que les citoyens et les policiers ont besoin de sécurité. Elle mentionne qu’Amiens a déjà armé ses agents et appelle à voter sa motion.
Violette Spillebout annonce le rejet du compte administratif 2024, soulignant trois points : remerciements à l’État pour l’augmentation de la Dotation Globale de Fonctionnement, reconnaissance envers les propriétaires lillois malgré des taxes élevées, et gratitude envers les automobilistes malgré la hausse des recettes de stationnement. Elle appelle à un équilibre dans les politiques municipales.
Violette Spillebout critique la gestion du rapport de la Chambre régionale des comptes, soulignant son manque de transparence et des problèmes de gouvernance à Lille. Elle met en lumière l’augmentation de la précarité des agents municipaux, des pratiques financières irrégulières, une transformation numérique défaillante et une dette croissante, appelant à des actions urgentes pour redresser la situation.